© Larry Marcus
Valérie Mavridorakis
Siah Armajani (né à Téhéran en 1939) reste un artiste méconnu. Pourtant, il a réalisé de nombreuses installations publiques, aux États-Unis et en Europe. Récemment, la rétrospective du Walker Art Center de Minneapolis et du Met de New York a témoigné de la richesse formelle de ce travail, mu par les convictions politiques de son auteur. C’est à partir des Glass Houses et, précisément, de la plus emblématique d’entre elles, Fallujah (2004), que Valérie Mavridorakis, professeure d’histoire de l’art à la Sorbonne, aborde la dimension critique de la sculpture d’Armajani.
Le travail de Siah Armajani sera présenté aux Abattoirs, Musée – Frac Occitanie Toulouse dans le cadre de la prochaine édition du Printemps de septembre.
Valérie Mavridorakis
© Larry Marcus
Siah Armajani (né à Téhéran en 1939) reste un artiste méconnu. Pourtant, il a réalisé de nombreuses installations publiques, aux États-Unis et en Europe. Récemment, la rétrospective du Walker Art Center de Minneapolis et du Met de New York a témoigné de la richesse formelle de ce travail, mu par les convictions politiques de son auteur. C’est à partir des Glass Houses et, précisément, de la plus emblématique d’entre elles, Fallujah (2004), que Valérie Mavridorakis, professeure d’histoire de l’art à la Sorbonne, aborde la dimension critique de la sculpture d’Armajani.
Le travail de Siah Armajani sera présenté aux Abattoirs, Musée – Frac Occitanie Toulouse dans le cadre de la prochaine édition du Printemps de septembre.