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Sophie von Hellermann

23.09.11 - 16.10.11
Exposition — Fondation d'entreprise espace écureuil pour l'art contemporain

Sophie von Hellermann
Dartagnan, 2011
Courtoisie de l'artiste et Galerie Vilma Gold, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse

Sophie von Hellermann
Vue d'ensemble, 2011
Courtoisie de l'artiste et Galerie Vilma Gold, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse

Sophie von Hellermann
Vue d'ensemble, 2011
Courtoisie de l'artiste et Galerie Vilma Gold, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse

Sophie von Hellermann
Coming down the ladder, 2011
Courtoisie de l'artiste et Galerie Vilma Gold, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse

Sophie von Hellermann
Now the rope dances, 2011
Courtoisie de l'artiste et Galerie Vilma Gold, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse

Sophie von Hellermann
21 septembre 2001, 2011
Courtoisie de l'artiste et Galerie Vilma Gold, Londres

Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse

Sophie von Hellermann
Les Jacobins,  2011
Courtoisie de l'artiste et Galerie Vilma Gold, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse

Sophie von Hellermann
Le vent fou, 2011
Courtoisie de l'artiste et Galerie Vilma Gold, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse

Sophie von Hellermann
Pigment boat, 2011
Courtoisie de l'artiste et Galerie Vilma Gold, Londres
Crédit photo : Le Printemps de Septembre-à Toulouse

 

Née en 1975 à Munich (Allemagne), elle vit et travaille à Londres.
 

Comme d’autres artistes de sa génération, Sophie von Hellermann s’autorise à puiser dans l’histoire de la peinture et des libertés qui y ont été progressivement acquises pour creuser sa voie singulière. La peinture permet à l’artiste tout à la fois de s’approprier et de s’absenter de la réalité. Les tableaux de Sophie von Hellermann condensent chacun une histoire, parfaitement contenue dans les limites du cadre, mais trouée de l’intérieur. Ces espaces vides donnent leur pouvoir d’évocation à ses œuvres, une capacité à absorber d’abord le regard avant d’ouvrir l’imaginaire et la mémoire de la sensation. Les sujets de sa peinture, essentiellement narrative, sont à l’intersection d’une histoire personnelle et d’une histoire collective qui nourrit son imaginaire, sans qu’une frontière bien définie existe entre les deux. Une exécution rapide et une production abondante, un style désinvolte, un amalgame permanent entre le trivial et le grandiose sont autant d’instruments qu’elle utilise pour transgresser toutes les règles de la bienséance picturale.


Les peintures présentées à la Fondation espace écureuil ont été réalisées dans le cadre d’une résidence de quinze jours à Toulouse ; on y retrouve des évocations directes de la ville, mais aussi les personnages fictionnels de ses lectures du moment.

Remerciements : École des beaux-arts de Toulouse